9 patients décèdent à Londres et Stockholm des suites de complications respiratoires causé par une maladie inconnue.

12 nouveaux cas à Paris, Madrid, Dublin et Berlin.


Décès des 12 patients, 28 nouveaux cas dans toute l’Europe, deux nouveaux cas aux états unies, un à Sydney.

Sur ces 31 cas, 17 décèdent , et l’ensemble des continents voient apparaitre 73 nouveaux patients contaminés.

Avec 2556 décès et un nombre de contaminé impossible à estimer, l’état de pandémie fut rapidement déclaré.

Au vu de l’incapacité des autorités sanitaires à juguler la crise,  l’intégralité des transports furent bloqué. Les pays se retrouvèrent à vivre en autarcie dans l’attente d’une éventuelle solution.

Dans le plus grand secret, et avec les précautions nécessaires, les dirigeants encore en vie des différentes nations se retrouvèrent à Reykjavik avec les responsable de la GSK. Un accord fut trouvé : Le label pharmaceutique aurait accès à l’ensemble des ressources mondiales pour mettre un terme rapide à cette catastrophe.

A défaut de vaccin, un traitement stabilisant l’état des patients fut trouvé, permettant de limiter le nombre de victime.

Découverte d’un traitement permettant de juguler le virus responsable de la pandémie. C’est alors de début des campagnes thérapeutiques.

Tous les survivants connus et regroupé dans les centres névralgiques sont traités.  Après plus d'une année de souffrance, 4 943 049 479 morts, la disparition des nations telle que nous les connaissions et la chute de l’économie, le monde et la société ont un nouveau visage. La violence va en augmentant, le taux de délinquance est en hausse constante, et le nombre de victime d’agression explose.