2056,  l’humanité fut victime d’un des plus terrible virus de l’histoire. . Celui qui fut nommé "Pandora" causa la mort de milliards d’êtres humains, plongeant le monde dans une nouvelle ère de ténèbre et de crainte . A cours de moyen, les gouvernements, ou ce qu’il en restait s’unirent sous une seule bannière, et firent appel à la GSK, plus grand laboratoire pharmaceutique de son époque.

Afin de sauvegarder ce qu’il restait de l’humanité, et de limiter la propagation du virus,  les survivants s’étaient réfugié dans de grandes villes boucliers, qui proposait une relative sécurité aux habitants. Dans cette nouvelle Europe sur le point de voir le jour, la plus grande de ces cités, Reykjavik, habitaient étalement les dirigeants politique ainsi que les responsables de la GSK.

Armée de toutes les ressources encore disponible, le laboratoire parvint à trouver une ébauche de traitement. Le virus n’était pas endigué et se propageait toujours à l’état naturel, mais certains patients purent être soigné. Mais ce faisant, armé du seul moyen de luter contre Pandora , la GSK obtint un pouvoir qui allait changer la face du monde à jamais.

Les gens avaient espéré qu’avec la relative gestion de Pandora, le monde allait retrouver une certaine normalité, mais ils avaient tort. Dans ce chaos qui était né, seul comptait l’individu et sa survie. L’absence d’autorité politique stable avait laissé libre cours à la délinquance et aux agressions. Et une fois encore, ils se tournèrent vers ceux qui les avait été par le passé. C’est ainsi que le 17 Janvier 2059 , fut voté la loi PCT : Paix communautaire totale.

Appuyé par le simulacre de gouvernement qui avait survécu, le laboratoire se proposait de mettre en place un traitement qui permettrait de canaliser les humeurs des gens. Pour la majorité de la population, la GSK allait leur offrir une utopie, un nouveau monde où il ferai bon vivre. Et plus personne n’entendit parler des contestataires qui prétendait que le groupe pharmaceutique ne recherchait là qu’un outil de contrôle…

2062: Depuis 3 ans déjà, la GSK œuvrait dans des laboratoires secrets pour créer cette utopie qu’était la paix communautaire totale. Mais les choses ne se passaient pas aussi bien que prévu. Le laboratoire avait essayé plusieurs traitements mais tous avaient échoué. Au lieu d’inhiber les émotions néfastes des gens, les médicaments faisaient ressortir les plus bas instincts de ceux qui avaient le malheur de l’essayer. Ramené à l’état d’animal, ils n’étaient plus contrôlés que par leurs réflexes primaires. Mais plus grave encore, ce gène qui leur avait été inoculé était transmissible, et contaminait ceux qui entraient en contact avec eux. Mais tous n’étais pas des bêtes sans noms. Un petit nombre, malgré cette violence qui les animaient désormais,  avaient conservé leur réflexion et leur capacité d’analyse. Ces cobayes, appelé les dégénérés par la GSK furent enfermé au fin fond des laboratoires, d’où ils ne ressortiraient jamais.

2065 : Après encore presque 4 ans, les essais thérapeutiques se poursuivaient. On aurait pu penser que la GSK aurait cherché un remède à ce qu’elle avait créé, mais la société n’était motivée que par sa recherche de contrôle.

A l’abri des hauts murs de Reykjavík, défendu par une armée équipée, rien ne gênaient le laboratoire pour mener à bien leur expérimentations. Au cœur de l'hypercentre de la ville , la GSK avait accès à une infrastructure de qualité ainsi qu'a une technologie de pointe.

C’est de ce cocon protégé que tout commença

La GSK avait mis la main sur la perle rare. Un être possédant un gène unique en son genre. Peut-être le gène qui manquait pour mener à bien leur projet. Une équipe de professionnel travaillait dans le plus grand secret, faisant de cette jeune femme un simple rat de laboratoire… En pire.

Mais alors que les choses semblaient se décanter, un événement vint tout mettre à mal. Mené par les plus violents et les plus intelligents des « dégénérés », ces derniers parvinrent à s’enfuir et à quitter la ville, causant d’innombrable ravages et morts sur leur chemin. Mais leurs disparitions n’étaient pas un problème pour la GSK. Non. Ils n’étaient le problème que des citoyens, qui devrait se débrouiller seul, ou avec le peu d’aide que les dirigeants voudraient bien leur fournir. Non, le problème de ces chefs était tout autre.

Au cours de la cohue, leur cobaye fétiche avait fui également. Mais elle n’avait pu le faire seule. Et alors que l’alerte était donné au sein du laboratoire, le cobaye s’éloignait dans la ville, accompagné d’un homme qui dissimulait une blouse blanche.

Nous nous trouvons à Reykjavík, ville bouclier par excellence. Si les trois premières zones furent relativement protégé de la fuite des cobayes, la zone IV se remet difficilement des ravages causés par l'évasion des dégénérés, qui errent maintenant les campagnes islandaises.

Une nouvelle histoire et en train de se construire, et chacun apportera sa pierre à l'édifice.